Les Coupes à Pied de07

3ème Chapitre: Les Coupes à Pied

Il fallait que le hobby reste abordable en dehors du fait que la place pour poser et ranger les objets rassemblés n'était pas illimitée: tout au long de ces années les coupes à pied et tout particulièrement les centres de table à étages étaient assez chères, mme sur les marchés de brocante. J'y ai donc totalement renoncé et observé une certaine retenue quant aux coupes à pied. C'est pour cette raison que ce chapitre est un peu court.

Dans les catalogues la fonction des pièces présentées est indiquée de différentes façons. Dès fois on parle de sucrier, dès fois de coupe à fruit ou même de coupe à dessert. Parfois elles sont livrées avec couvercle, elles existent aussi en plusieurs tailles différentes.

Comme les coupes elles étaient souvent – après le démoulage – encore retravaillées.

La forme originelle de la coupe à pied est le calice. Le récipient et la dénomination ont dtre introduits en France, en Europe centrale et en Angleterre à travers l'expansion de la viticulture par les Romains (lat. calix, all. Kelch, angl. chalice).

Dans la liturgie chrétienne le calice joue un rle particulier comme calice de messe.

Même si nous connaissons par l'histoire de l'art ou de l'utilisation d'aujourd'hui plutôt le métal précieux comme matériau, en partie richement orné et incrusté de pierres précieuses, le verre était souvent le matériau utilisé pour le calice de messe – en particulier au début du Christianisme. La partie du pied, le noeud et la paraison étaient les éléments de forme originels.

Le calice de messe allemand le plus ancien – le calice de Tassilo du VIIIème siècle – rappelle encore fortement le modèle romain, qui consistait en deux calices assemblés inversément. La tige s'est dévéloppée au courant du Moyen ge.

Coupes à Pied (Pages Allemand)

 

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